musée des beaux arts tours son et lumière
Duprimaire (cycles 2, 3 et 4) au secondaire. Depuis 2015, le service des publics du musée des Beaux-Arts de Bordeaux promeut la grande cause nationale concernant l’égalité des femmes et des hommes. Il propose une visite guidée accessible aux premier et second degrés, intitulée « L’art au prisme des inégalités hommes/femmes ».
Muséedes Beaux-Arts Tours: Beau musée mais son et lumière décevant - consultez 335 avis de voyageurs, 896 photos, les meilleures offres et
nonton love marriage and divorce season 2. Général Très agréable à visiter de jour, la ville de Tours mérite que l’on s’y attarde également en soirée. Un dîner au restaurant, un verre à la guinguette, ou une balade au fil du Parcours Lumière et vous voilà fin prêts pour le bouquet final de la soirée le spectacle de projections sur la façade du musée des Beaux-Arts de Tours, intitulé Les nuits Renaissance ». L’objectif était ambitieux faire aussi bien que les illusions de la cathédrale, l’ancien spectacle sons et lumières signé Damien Fontaine, qui avait rencontré un franc succès. Et vous savez quoi ? Il semble que tous les ingrédients aient été réunis pour y arriver ! NDLR proposées de 2019 à 2021, les Nuits Renaissance ne sont pas reconduites pour l’été 2022. Voir les marchés et animations nocturnes pour 2022. Les nuits Renaissance un cours d’histoire spectaculaire… et gratuit ! Les nuits Renaissance – Tours Dans la continuité des 500 ans de la Renaissance célébrés dans tout le Val de Loire, la magie des projections nous transporte au début du 16ème siècle. La guerre de 100 ans est terminée ; apparaissent de précieuses innovations telles la boussole et l’astrolabe qui ouvrent de nouvelles perspectives aux marins-explorateurs ! Parallèlement, la cour étant présente en Touraine, les châteaux de la Loire se transforment en d’élégants palais loin des considérations défensives du Moyen-Age. Vitraux, sculptures, musiques, enluminures, peintures, spectacles… les arts et la culture connaissent un grand bond en avant. En tout, 12 scènes s’enchaînent durant une vingtaine de minutes. En voici un bon aperçu Informations pratiques Son et lumière Les nuits Renaissance » projeté tous les soirs du 30 juin au 5 septembre 2021, sur la façade du musée des Beaux-Arts de Tours. Gratuit Ouverture des portes Juillet 22h Août / septembre 21h30 Fermeture des portes Juillet 22h45 Août / septembre 22h15 Musée des Beaux-Arts de Tours Pour aller plus loin Tous nos articles magazine pour bien préparer votre séjour
Au premier étage de l’aile Louis XII, six salles sont entièrement consacrées à la présentation des collections de peinture et de sculpture. Le musée des Beaux-Arts du château de Blois présente près de trois cents œuvres, peintures, sculptures et objets d’art qui retracent l’histoire des arts européens du XVIe au XIXe siècles. Parmi les chefs-d’œuvre exposés, il faut distinguer les tableaux de Cousin, Stella, Boucher, Ingres ou Chassériau ou bien les sculptures de Lemoyne, David d’Angers et Préault. Un accent particulier est mis sur le genre du portrait au XVIIe siècle ou bien encore sur l’art troubadour qui, au début du XIXe siècle, s’attache à raconter de manière sentimentale et théâtrale l’histoire des grands héros nationaux du Moyen-âge et de la Renaissance comme Jeanne d’Arc ou François Ier. Histoire du musée Un musée dans un château Où l’on trouve l’architecture et l’histoire, on attend des collections. Quand l’architecture a caractère d’exception, on attend les chefs-d’œuvre. S’il ne reste plus rien aujourd’hui des collections des rois de France au château de Blois, le musée des Beaux-Arts vous invite, dans les anciens appartements du roi Louis XII, à un parcours inattendu à travers les arts depuis la Renaissance jusqu’à la fin du XIXe siècle. Le musée des Beaux-Arts du château de Blois se déploie dans les six salles du premier étage de l’aile Louis XII depuis 1869. En effet dès l’époque de la Révolution, des voix s’élèvent à Blois comme un peu partout ailleurs en France pour demander la création d’un musée destiné notamment à la formation des artistes. En 1810, un décret impérial accorde aux villes la nu-propriété des édifices militaires et c’est en tant que caserne que le château de Blois devient 1850, Pierre-Stanislas Maigreau-Blau, maire de Blois, est à l’origine de la création du musée qui s’installe alors dans l’aile François Ier, écoutons-le défendre son projet " Il n’y a pas de chef-lieu de département en France qui ne soit aujourd’hui doté d’un musée. […] Il serait superflu d’examiner les avantages de ces sortes d’établissements ; On sait de quel encouragement puissant ils sont pour les arts et les sciences, par les modèles ou les collections qu’ils offrent à l’étude". Ainsi l’armée libère-t-elle peu à peu les espaces du château qui sont investis par les peintures, sculptures, et autres objets d’art prêtés dans un premier temps par les collectionneurs privés lors d’expositions temporaires, puis peu à peu légués à la ville et qui s’ajoutent aux envois de l’Etat et aux achats sur le marché de l’art pour constituer le patrimoine artistique des Blésois. La muséographie actuelle, qui remonte à la rénovation de 1995, a pour ambition de concilier le cadre du décor grandiose voulu par l’architecte Félix Duban et les exigences d’un musée moderne. L’idée directrice est de donner au visiteur le sentiment qu’il traverse les appartements anciens d’un prince contemporain et collectionneur, dont le goût raffiné et érudit transparaît par l’exposition d’œuvres rares, surprenantes et belles. Ainsi a-t-on privilégié les tentures de velours aux tons soutenus, les vitrines du XIXe siècle et l’accrochage serré. C’est ce parti prix qui fait toute l’originalité du musée des Beaux-Arts du château de Blois. La salle d'actualité Paul Renouard, peintre et illustrateur Cette salle accueille deux expositions par an, qui permettent au public de découvrir des œuvres habituellement en réserve. Cela permet aussi au public de mieux connaître le travail de l’équipe de conservation restaurations, acquisitions récentes et actualités scientifiques. Ainsi, il est possible d’exposer plus régulièrement les dessins et les gravures qui ne peuvent être exposés à la lumière que pendant de courtes durées. Ces expositions sont avant tout destinées au public local et offrent l’occasion de fréquenter périodiquement notre musée des Beaux-Arts. Exposition actuelle Paul Renouard Cheverny 1845 ; Paris 1924 peintre et illustrateur De condition modeste, c’est à l’âge de 14 ans que Paul Renouard quitte Cheverny pour trouver du travail à Paris. En 1868, alors qu’il est employé comme peintre en bâtiments, Isidore Pils remarque ses croquis et esquisses sur les murs de la cour de l’École des Beaux-Arts et le fait entrer dans son atelier. Il exécute avec lui les décorations intérieures de l’Opéra, puis réalise seul, en 1875, les fresques du plafond du grand escalier. C’est le début d’une brillante carrière. La multiplication des gazettes et publications imprimées à cette époque ouvre un vaste champ à l’illustration. De 1875 à 1880, Paul Renouard collabore à L’Art, à L’Illustration, à Paris illustré. En 1884, il entre comme dessinateur au Graphic de Londres. Son talent y fait merveille et il se détourne de la peinture pour une production graphique extrêmement personnelle. Il obtient la médaille d’or aux expositions universelles de 1889 et 1900, il exerce comme professeur à l’École des Arts Décoratifs et se lie d’amitié avec les peintres Weerts et Degas. Il voyage beaucoup, suit une expédition en Tunisie, puis réside à Washington où il étudie la vie parlementaire des États-Unis. Décédé en janvier 1924, Paul Renouard est enterré au petit cimetière de Chambon-sur-Cisse. En 1926, à l’initiative de l’École de la Loire dont il fut le président, un buste est réalisé par Albert Chartier, un de ses élèves aux Arts Décoratifs, et inauguré dans les jardins de l’évêché. Dès 1922, suite à l’acquisition par la ville de l’album Paul Renouard, son oeuvre sur la guerre 1914-1917, complété d’un don important de l’artiste, sont inaugurées au Musée régional de Blois, alors musée d’art contemporain situé dans l’ancien évêché, les salles entièrement dédiées à Paul Renouard. La collection est complétée par des achats importants entre 1927 et 1935, puis par le don May en 1971. Au total ce fonds comprend sept peintures et environ 550 dessins et gravures. L’œuvre de l’illustrateur Artiste intimement lié à son époque, l’oeuvre de Paul Renouard est un reflet vivace des choses vues et vécues. D’un trait sobre et rapide il fixe les gestes et expressions des personnages les plus divers, depuis les chefs d’État jusqu’aux dockers de la Tamise. Il saisit le mouvement et il traduit en gravures les grands événements européens procès Dreyfus, procès Zola, jubilé de la reine d’Angleterre, séances de la Chambre des Députés, expositions universelles, première guerre mondiale. Il est également virtuose dans ses études d’animaux. L’illustration à la fin du XIXe siècle Il ne faut pas oublier la part importante qui revient aux artistes de la fin du XIXe siècle dans le domaine de l’image destinée à la diffusion. La multiplication des gazettes et publications imprimées connaît une extension qui ouvre un vaste champ à l’illustration. La reproduction de la photographie par des procédés mécaniques n’est pas encore née et les artistes, tout comme aux siècles passés, gardent encore le privilège de réaliser des oeuvres reproduites en lithographie comme en gravure, sur cuivre ou sur bois. Les revues illustrées C’est par l’illustration de revues que Paul Renouard devient célèbre non seulement en France mais à l’étranger. Il est sollicité pour relater les scènes d’actualité en des séries de compositions dessinées au cours des cérémonies et des grandes fêtes officielles. Il exécute le portrait de grands personnages, tel le président Loubet ou Waldeck-Rousseau, ainsi que des croquis d’audience au procès Dreyfus ou autres grands procès du moment. Ses dessins paraissent dans L’Art, L’Illustration, le Paris illustré. Il devient le collaborateur attitré du Graphic en Angleterre ou il s’attache aux scènes de la vie courante. Les thèmes chers à Paul Renouard L’Opéra L’ambiance du théâtre de l’Opéra devient rapidement familière à Paul Renouard et est pour lui une grande source d’inspiration. L’étude de la danse notamment le passionne. Paul Renouard fréquente l’Opéra pendant 18 ans et accumule croquis et notes, à la classe de danse, au foyer, dans les coulisses. En 1868 l’adaptation d’Hamlet, puis en 1872 celle d’Aïda, sont pour lui une source d’étude et de délectation inépuisable. Il saisit sur le vif le public, les acteurs à l’Opéra de Paris et à Londres Théâtre Royal Drurylane et publie en 1880 un luxueux album de 30 eaux-fortes. Les expositions universelles Paul Renouard se plaît à rendre les effets de mouvements de foules aux grandes expositions internationales. En 1889 et 1900 il collabore à la Revue de l’Exposition universelle de Paris. Ce sont les nombreux dessins du trottoir roulant appelé “Rue de l’avenir”, de la construction du Grand-Palais, du Palais de l’électricité, les ouvriers sur la tour Eiffel, sans oublier le rhinocéros du Trocadéro réalisé par Henri Jacquemart pour l’Exposition universelle de 1878 et aujourd’hui sur le parvis du musée d’Orsay. Il illustre également l’Exposition universelle de Liège en 1905 à l’occasion du 75e anniversaire de l’indépendance de la Belgique. Les croquis d’animaux Paul Renouard est inimitable dans ses études d’animaux. Ses gravures originales consacrées aux volailles, chiens, chats, révèlent ses dons d’observateur caustique du geste et de l’expression. Ces gravures étaient probablement destinées à illustrer le livre intitulé Croquis d’animaux par Renouard. La guerre de 14-18 La Grande Guerre bouleverse Paul Renouard et lui inspire des dessins où le réalisme saisissant est lié à l’émotion. En 1917 il réalise un album Paul Renouard, son oeuvre sur la guerre, 1914-1917, comprenant dix eaux-fortes et vingt lithographies. Il dépeint notamment de saisissants portraits de groupes des “gueules cassées”, les invalides de guerre.
Horaires et services non garantis Le Musée des beaux-arts à Rennes abrite des oeuvres d'arts du 14ème siècle jusqu'aux mouvements contemporains dont le chef d’œuvre de Georges de la Tour "Le Nouveau Né". Un espace de 250 m² dédié aux collections d'archéologie égyptienne et gréco-romaine est visible au rez-de-chaussée du musée. Horaires d'ouverture Toute l'année le mardi en continu, 10h-18h ; du mercredi au dimanche, 10h-12h/14h-18h ; fermé le lundi et les jours fériés. Le programme des expositions temporaires et les... Lire la suite Le Musée des beaux-arts à Rennes abrite des oeuvres d'arts du 14ème siècle jusqu'aux mouvements contemporains dont le chef d’œuvre de Georges de la Tour "Le Nouveau Né". Un espace de 250 m² dédié aux collections d'archéologie égyptienne et gréco-romaine est visible au rez-de-chaussée du musée. Horaires d'ouverture Toute l'année le mardi en continu, 10h-18h ; du mercredi au dimanche, 10h-12h/14h-18h ; fermé le lundi et les jours fériés. Le programme des expositions temporaires et les tarifs sur notre site Internet. Gratuit le 1er dimanche de chaque mois. Afficher moins Langues parlées Contacter par email Prestations Accessibilité Accueil personnes à mobilité réduite Activités Animation thématique spécifique Atelier pour adultes Atelier pour enfants Colloques Conférences Expositions temporaires Equipements Auditorium Services Bibliothèque Boutique Tarifs Tarifs Tarif groupe — • / visiteur - A partir de 10 adultes Gratuit — • moins de 18 ans, carte sortir, groupes scolaires accompagnés Gratuit — • Premier dimanche de chaque mois
de en it fr es Version en ligne Un parcours allant de l’art médiéval au début de l’art moderne © Ville de Belfort La Tour 41 construite entre 1687 et 1698 fait partie du dispositif de défense imaginé par Vauban. Aujourd’hui, le musée propose une lecture didactique et chronologique des courants artistiques au sein de ses murs. Un espace est également dédié au sculpteur Camille Lefèvre qui a donné son fonds d’atelier et sa collection à la Ville de Belfort. Une section est consacrée actuellement à la sculpture et une autre au photographe André Villers. A propos du lieu La Tour 41 est érigée entre 1687 et 1703 par Vauban pour renforcer le site, nouvelle frontière du royaume de France. Il s’agit d'une tour bastionnée, c’est-à-dire une tour pentagonale faisant saillie sur l’enceinte, avec des chambres de tir permettant de défendre les alentours et de croiser les angles de vue. L’intérêt national des fortifications de Belfort a rendu possible leur classement au titre des Monuments Historiques. Dans cet écrin laissé par Vauban, restauré en 2019, le musée des Beaux-arts propose une lecture didactique et chronologique des courants artistiques présents au sein de ses murs. La collection des Beaux-arts des Musées de Belfort comprend environ 6 900 œuvres d’art illustrant notamment la peinture et la gravure de la fin du XVème siècle en France, Espagne et Allemagne; l’art religieux du XVIIème siècle à travers Rubens et Pourbus; les mutations artistiques du XIXème siècle paysage en plein air, modernisation de l’expression dans le portrait peint et la sculpture. La collection belfortaine est particulièrement riche en arts graphiques et dispose d'une collection d'art contemporain originale, fondée sur la sculpture ou les installations Chevalier ou Collin-Thiébaud. Le visiteur peut découvrir ainsi la richesse de la collection belfortaine, mise en lumière par une signalétique qui offre des clés de lecture. Le musée des Beaux-arts renouvelle chaque année tout ou partie de ses collections afin d’offrir au regard la diversité du patrimoine local. Accès Nombreuses places de stationnement à accessibles aux handicapés. c Philippe Martin / Mairie de Belfort 0384542551 Faire une demande de modification du lieu
Si vous vous trouvez à Lyon un premier vendredi du mois, tentez cette expérience !Le Musée des Beaux-arts vous propose chaque mois de vivre un moment privilégié à la découverte d'une thématique, d'une exposition, d'une époque…Dans une atmosphère détendue, la visite s'enrichit d'animations tout public, en résonance avec le thème de la soirée contes, danse, chant, concerts, films… tandis que des intervenants présentent des œuvres une parenthèse culturelle à savourer de 18 à 22h ! Voir le programme sur le site du musée…Informations pratiquesTarif 5 €3 € de 18 à 25 ansEntrée gratuite pour les jeunes de moins de 18 ans, les personnes non imposables, demandeurs d'emploi, handicapés, bénéficiaires du RSA et RMI et détenteurs de la carte musée ou de la carte culture de la Ville de Lyon. Entrée gratuite avec la Lyon City CardLes nocturnes du musée sont proposées chaque premier vendredi du mois de 18h à 22h sauf en décembre, août et septembre. Le restaurant et la boutique du musée restent ouverts à cette 04 72 10 17
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