meme si les oceans se dechaine paroles
30Likes, 1 Comments - SLK (@slkaanews) on Instagram: “« Même si les océans se déchaînent, Père tu domines les tempêtes, je suis tranquille car Tu es là »”
Laliste des pays musulmans condamnant les propos d’une porte-parole du parti au pouvoir en Inde, à l’encontre de l’islam et du prophète
Plusle monde est noir, noirci, carbonisé, troué, écartelé, éclaboussé de fureur et de sang, et plus nous devons, inlassablement, y remettre de la douceur et de l’amour.
Abrites-moi (Même si les océans se déchainent) ", version française de "Still" d'Hillsong, interprétée lors du rassemblement de jeunesse PAJE (Paris Jeunesse) 2008 à Pontoise. French Version
Ilsse sont enfuis de leur maison. Toutes les histoires se ressemblent, les deux enfants épuisés vont s’endormir au pied d’un arbre. Il cherche une sortie, il voudrait rire de chercher une sortie dans le plus grand des océans. L’océan se réveille se déchaîne démontre sa force, roule de sa mécanique d’océan, son corps s
nonton love marriage and divorce season 2. Abrite-moi sous tes ailesCouvre-moi par ta main puissante Même si les océans se déchaînentJe les traverserai avec toiPère, tu domines les tempêtesJe suis tranquille car tu es là Abrite-moi sous tes ailesCouvre-moi par ta main puissante Même si les océans se déchaînentJe les traverserai avec toiPère, tu domines les tempêtesJe suis tranquille car tu es là En Jésus seul je me confieIl me donne force, calme et puissance Même si les océans se déchaînentJe les traverserai avec toiPère, tu domines les tempêtesJe suis tranquille car tu es là Je suis tranquille car tu es là ! Paroles Reuben Morgan - Pour les musiciens, la version avec accords est sur cette page - Still © 2002 Hillsong Publishing. Adaptation française © 2008 Samuel Rodrigues – Matthieu Rouffet Reproduit avec autorisation Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !
Harry Potter 2005 ~¤~ Académie de Poudlard ~¤~ Les couloirsVanille FleurySerpentard Re Château non-coopératifVanille Fleury, le Mer 16 Nov - 1556 À quoi penses-tu ? Me prends-tu pour une égoïste ? Une idiote ? Personne qui n'est pas née de sang pur ne peut comprendre cette aversion que j'ai pour les sangs mêlés et les sangs de bourbe. Pour moi il ne s’élève qu'à grande peine à la catégorie d'insecte et encore je suis gentille. Certains diront que je suis folle, beaucoup seront choqués mais c'est la vérité. Je ne comprends pas comment des gens sans appartenance magique naissent soudain avec des pouvoirs, ce ne sont et ne sera jamais des sorciers à mes yeux ! Ils ne sont nés que pour servir et l'idée même de fréquenter le même établissement qu'eux me sorciers de sang-mêlé ne valent guère mieux à mes yeux, ils me dégoûtent peut-être même plus encore. Le fait d'aimer ou même de coucher avec un mordu me révulse au plus haut point. Ils ne sont pas dignes d'être de notre monde. Ne sont pas digne d' profondFace à la différenceEt cette insanitéDe la natureIl faut dire que mon éducation en est pour beaucoup, aurais je réagis comme cela si j'avais été élevée dans une autre famille . Je ne pense pas mais la répugnance que j'ai pour eux aujourd'hui est évidemment liée à celle de mes parents. Mon père ma élever, enfin, m'a fait élever, dans ce principe et il me serait presque impossible même avec la meilleure volonté du monde de ne pas suivre ce qu'il m'a fait rouge et or perdent son sang-froid, elle sort sa baguette et la pointe vers Tu me parles encore une fois comme ça et j'te défonce ok ?Je sors ma propre baguette quelques secondes après elle. Cette jeune fille n'a aucune chance. Je suis versée dans la magie noire depuis mon plus jeune âge et suis assez puissante pour contrer ses misérables coups. Quelle idiote ! -Je demande à voir !Mon ton est un brin ironique mais reste sérieux et glacial. DoucementLe serpent et le lionSe lève L'un contre l'autreDommage pour toi qu'on doive en arriver là ma petite. Je ne voulais pas te faire de mal trop vite mais c'est toi qui provoques. Y a-t-il quelque chose de particulier que je doive graver sur ta tombe ? Je me tiens droite et fière, la mine hautaine et le regard assuré. Je ne suis pas une proie facile et tu as réveillé le serpent qui se cachait en moi. Je ne désir plus qu'une chose, voir ton sang couler et prendre ta vie. Cessez d'entendre battre ton cœur et tes poumons de Statum ! Invité Re Château non-coopératifInvité, le Jeu 1 Déc - 1720 Désolé pour le temps de réponse la baguette pointéecomme une arme moldueprête à tirerprête à tout pour gagner je suis prêteelle ne me fais pas peurje suis courageuse et audacieuxles griffes sortiesle sang coule déjà sur ma peauje le sens dégouliner le long de mon ventreet les frissons les frémissementqui parcourent mon corpsles poils qui se dressentje l'aije suis un homme à présentje ne vais pas vous laisser le volerje suis un homme à présentun homme généreuxle sens de la vie qui se reflètedans mes yeuxcomme deux gouttes d'eau au milieu d'un lacet qui tombequi tombequi brillecomme un diamantje frappeles oiseaux-chiens qui tirent mes cheveuxparce queleurs dents ravageraient une barbe d'orj'ai perdudes amis sans yeux dont le sang se glacemon nouveau peuplesur ses talons silencieux prétend être ancienet je grelotteau milieu de tout ce mondequi me soulèveet me porteje frappe entre les deux yeuxcomme une mouchevolant autour de ma têteelle me dérangeje ne la supporte plusl'argent qui coulequi perle sur mon frontje frappecomme deux mains opalineséphémèresattrapent ces fils de soiequi recouvre et tire sur tes piedscomme les manettes d'un jeu horriblemarionnetteelle veut être un hommemais à présentil est trop tardmais elle mentelle veut renaître encoresur mon dos marqué d'un croixelle veut renaîtreau milieu des démonspeuplant ce monde de fouet mon curieux visagelaissé entre les flammes d'un grand incendieelle veut renaître à nouveauelle se croit Puissanceelle se croit Dominationelle se croit Autoritémais elle n'est rienqu'un goutte de sang de plusqui tombera sur le sol enneigésur ce blanc cristaldessous mes ongles étincellesse dessine cette courbe duvetJe demande à voir !elle ne sait rienelle n'a rien donnéni argentni tempsni amourelle croit connaître la vieet toutes ses conséquencesla psychologie humaine l'échappetotalementelle croit tout connaîtredes sentimentsdes émotions des actesmais sait-elle que son histoire n'est rien comparé à la vie ?elle veut toutl'argentla popularitémais ne se comprend pas elle mêmeelle croit pouvoir gagnermais ne pourra rien faireface à un angeEverte Statumle sol m’accueille avec joiemais pas pour bien longtempsje sens à peine la douleur qui transperce mes genouxet je suis déjà sur pieds elle ne comprend paselle ne comprend rienet la baguette toujours pointéeet voilà que deux secondespourlancerce sortdeuxsecondespour réussiret ne paséchouerfaceàcette épreuveElectrocorpusVitesse supérieur Vanille FleurySerpentard Re Château non-coopératifVanille Fleury, le Ven 9 Déc - 1705 Pas grave, je ne suis pas très rapide non plus 'Tant de douleur. À quoi cela sert-il ? Je me fais mal. Je lui fais mal. Je nous blesse. Pourquoi ? Pour moi. Pour vivre. Mais ce n'est pas vivre. Simplement survivre. Rester en vie. Toujours. Je peux le faire. Je sais le faire. Mais à quel prix ? Comment puis-je délibérément faire du mal aux autres ? Pour me protéger. Me sauver. Mais c'est un échec. Tout ça ne mène à rien. Je m'enfonce. J'étouffe. Je meurs. Personne ne sait. Personne ne vois. Je crie. Je hurle je veux finir. Pourtant je suis là. Je fais mal. Sans cesse. Sans arrêt. Je n'ai pas le choix. C'est ma seule chance. Mon unique salut. Elle ne comprend pas. Elle ne saurait pas. Ce n'est pas grave. Je m'en veux. Je lui en veux. Car même sans ce cauchemar permanent que je vis. Elle m'a mise hors de moi. Heureuse. Sereine. Stupide. Je l'ai haïs dès l'instant où mes yeux se sont posé sur elle. Gryffondor et Sepentard. Une vieille querelle. Quelque chose que je ne suis pas prête à essayer d'éteindre. Non, juste rajouter de l'huile sur le feu. Ma baguette est dans ma main. Son contact de bois est rassurant au toucher. Crochet de serpent. Telle baguette, telle maîtresse. Une connexion si puissante en elle et moi que je n'envisagerais jamais de me promener sans elle. Plus qu'un simple objet. Comme une amie, une extension de moi-même. Une parcelle de mon âme qui a tant de foi offert la douleur à mes ennemis. Le venin coule en elle comme en moi. Il n'y a plus que nous. Seules contre tous. Âmes jumelles. Âmes sortilège l'a touchée. Elle est tombée. Grimage de douleur. Onde de plaisir. Elle est debout. Tout est allé trop vite. Déjà sa baguette est sur moi. Mon visage se fige. Comme si le temps ralentissait. Ses mots résonnent à mes oreilles tandis que je vois ses lèvres formuler un sort. Je veux bouger. Éviter. Je ne peux pas. Je n'en ai pas le temps. En un éclair le sortilège vient me frapper en plein fouet. Je ne connais que trop bien la sensation de la choc électrique me percute et m'arrache un hurlement. Je tombe à genoux. Douleur. Le sortilège fut bref mais puissant. La souffrance. Cette douleur n'est rien comparer à ce que j'ai subi par le passé. Mais cette formule réveille en moi une douleur bien plus ardente. Mes yeux se posent sur mon poignet. Toujours à terre. La tête baissée. Mes longs cheveux lisse d'un blond platine tombe comme une cascade devant mon visage. Mes yeux brillent d'un éclat nouveau. Un éclat de haine gravé dans ma chaire. Mot que je n'oublierais jamais. Mot qui me fait mal. Mot horrible. Traîtresse. Telle une cicatrice, un aide-mémoire, une plaie hideuse barrant mon poignet. Traîtresse. Existe-t-il pire comme mot ? Fait-on plus horrible ? Quand tu sais qui te l'a inscrit à la force d'un sortilège. Parents. Géniteurs. Ils devaient m'aimer. Ils m'ont torturé. J'étais heureuse. Ils m'ont tout enlevé. Albus… Et j'ai mal, mal, mal… Je me relève. Doucement. Lentement. Je ne parle pas. Tête inclinée. Je relève le menton. La dévisage. Froide. Glaciale. Hautaine. Cruelle. La haine tout entière a rempli mon être endolori. Je fus une victime. Je ne l'ai suit plus. Une enfance brisée. Une vie détruite. Une pression trop forte. Je me venge. De la vie. De mes pleurs. De mes cris. Des nuits blanches qui ne semblaient jamais vouloir se terminer. Je souris. Plus personneNe peuxMe briserJamais-Repulso Invité Re Château non-coopératifInvité, le Ven 30 Déc - 1031 Deux yeux. Braqués sur moi. Deux diamants luisants. Qui brillent dans la pénombre. Ça brûle. Les rétines miroirs. L'âme profonde et sanguine. Les pupilles. Qui se dilatent. Qui grossisent. Deux points noirs sur fond gris. Trois traits. Au crayon gris, sur la feuille blanche de la vie. Et ils s'estompent, disparaissent sous les éclairs des Dieux. On m'observe sous les nuages, on m'observe par dessus les mers. Les nuées de papillons blancs qui volent autour de moi. Ces nuages d'ailes qui bat, qui bat, qui bat. Fort. Plus fort que les océans et les visages qui m'entourent. Trois doigts sur mon front, en signe de paix, en signe d'amour. Le soleil brille. Le soleil resplendit. Les dents blanches de leur sourire. La vie continue, mais pas avec cette revient. Je la sens au plus profond de mon âme comme si elle avait disparu à tout jamais, et qu'elle était finalement revenu beaucoup plus puissante qu'auparavant. Mes mains me chatouillent, me brûlent comme une boule de feu bien trop puissante que ce que je peux supporter. Une goutte de sueur coule de mon front. Le long de mes tempes qui battent à tout rompre, de mon nez qui brille de malheur, de ma joue qui gonfle jusqu'à explosée, de mon menton qui pointe l'autre Terre en face, qui m'a l'air plus sympathique que la mienne et qu'il faut conquérir. Et puis. Ploc. Sur le sol, elle tombe. Cette goutte. Rapidement elle dégringole l'échelle de la vie. On dirait moi. Et. Ploc. Sur le sol. Elle forme une flaque. Une flaque minuscule. Il ne faudra pas glissé dessus. Pour ne pas se s'étaler. Pour ne pas paraître ridicule. Cette flaque, c'est le lac de Poudlard. Noir et profond. Sombre à ne jamais en finir. Un lac où la noyade est assurée. Il faut faire attention, très attention. Je fais un pas, devant moi. Le lac est passé, derrière moi maintenant. Un cri déchire l'air. Juste en face de moi. La fille que j'essaye de détruire. Que lui ai-je fait déjà ? C'est une bonne question, je ne me souviens de rien. Mes souvenirs sont déjà loin, emportés par la magie. Boum. Ses genoux claquent le sol, dans un tonnerre de craquement. Elle est tombé, comme la goutte du film dernier. Elle aussi est dans son film. Je sens sa rage dominer sa conscience. Je murmure quelque chose que moi même ne peut pas entendre, sûrement un juron ou une plainte. Elle se relève déjà. Lentement mais sûrement pourrait-on dire. Même si je ne suis pas sur du sûrement. Elle me fixe. Avec ses yeux d'acier, découpant l'espace qui nous entoure, et aspirant le peu d'air qui restait. On la croirait sorti d'un film d'horreur, avec sa baguette dans la main, telle une hache, ses cheveux blonds décoiffés par la chute, ses deux yeux braqués sur sa cible comme si elle ne voulait pas me lâchés. Elle ne veut pas me lâcher. Et moi non plus d'ailleurs. Et je suis prête. Prête à esquiver. Prête à lancer. Prête à bouge, mais trop lentement. Elle lève sa baguette, bouge ses lèvres. Le sort part, lancé à pleine vitesse. Direction moi. Mais celui la ne me touchera pas. Alors je saute, je bondis, et rebondis. Le sol accueille mes pieds. Je plie les genoux. Le sort est allé s'écraser contre le mur derrière moi, qui me dominait encore il y a quelques secondes. Je n'aurais pas aimé être sous ce sort en voyant les dégâts causés au mur. Mais je ne dois pas perdre mon temps, profiter de son inattention pendant que je le peux encore. Je ne réfléchis pas au sort et je lance tout ce qui me passe par la tête. Bombarda d'abord à droite, puis un deuxième à gauche. Et mon, dernier sur elle. J'espère qu'ils vont passé. Au moins un. Je souris. Me prépare à la deuxième vague d'attaque. Mes griffes sont prêtes à déchirer. En fait, je ne ressens plus rien. Même pas de la haine. Presque cela m'amuse. Je sais qu'elle va perdre, qu'elle va abandonner car je la dominerai. Je suis bien plus forte. Vanille FleurySerpentard Re Château non-coopératifVanille Fleury, le Ven 30 Déc - 1242 HRP J'expérimente un peu ces temps si, désolée ^^Ça explose, ça se tous bruit est n'aime pas ça façon de quelqu'un aussi n'est pas pour préfère la méthode l'autre. Glisser sournoisement un peu de détruire de l' le regarder se ses yeux bouche entrouverte pour un dernier son qui ne sortira voir l'autre ton rire sans t' les rires font bien plus que les il faut que je cesse de le combat est loin d'être gagné. Je plonge, j' le mur roche m' joue, le douleur expose et le sang marque de liquide rouge m'emplit la un éclair je cette pelouse qui me paressait si le revois sa baguette brandie sur crie, je rien n'y sourire est carnassier et la douleur souffrance est cette joue qui sa bague qui me gifle. Ça n'aurait servi à rien de se contre contre elle…C'est est plus douée que le partie car elle est plus puis surtout grâce à ce qui montre bien son statut d' soulève et la sort de la masse des autres devrais m'en assez de problème comme ça avec l' pas que j'aime enfreindre le ce fichu préfet qui m'a bien sûr empressé de tout narrer avec quelle m'en étais pris à la comme je le si peur de me faire ma réaction de mes ferait ils s'ils savaient ?Quel horrible châtiment trouverait-il pour me punir ?Je ne veux pas y si peur d' me dis la fuite est peut-être la doute lâche mais bien moins ne risque rien à ses yeux m'en à l' détruire et puis seulement peux la j'ai toujours faire j'ai blessé l'autre ma propre de lui pas tomber du côté pas basculer dans la côtés moi au ne bouge peur de percuter l' m' dans le noir ou trop dans la Question de point de rouge est aujourd'hui je me le je serais lui montrerais mon véritable que je cache sous mes jolis qu'on a faite de ont fait de montre les à la laisser liquide qui coule doucement dans mes on me l'a pour cercle est été lumière si elle s'était appelé crois, je pense, j' ce que je vulgaire pion qui s'acharne à maintenir l'équilibreJe n'ai plu qu'une seule mission et je ne faillirais mes pour ça que je tends ma nouvelle fois j’étends mon n'est pas pour pas pour dépasse une petite ma tête en tout ai-je tort ?De m'acharner comme pis, j' la partie de ma Voyons tu t'en sors avec ça… Invité Re Château non-coopératifInvité, le Ven 27 Jan - 1648 Encore désolé du temps de réponse Prends ma main à travers les flammesRejoins moiJe suis accro à la douleurJe voudrais t'enchainerTe pendre par les piedsT'attacher la tête en basTe voir souffrirJusqu'au sangLa pression me donne de l'anxiété. Les deux mains en l'air, je crie, je crie. Je regarde, je vois. J'observe le monde de mes deux yeux de flammes. Dix orteils à terre. Je marche lentement à travers les flammes. Je les sens, me chatouiller, me caresser. Je souris. Je suis juste timbrés, je deviens folle, vivant la vie comme si tout était incroyable. Le monde tourne, moi je reste immobile, plantée dans le sol, dans l'air, nageant avec les requins que j'embrasse. Ils me cherchent, me narguent, avec leurs viandes dégoulinant de sang. Je dors un couteau caché sous mon coussin. Je couche avec le Diable pendant qu'il est encore temps. Dose complète de dysfonctionnement préjudiciable. Je pourrais me couper la tête juste après m'avoir poignardé. T'es qui pour me faire souffrir ? Ce n'est pas moi qui a déjà essayer de se trancher les veines avec un bout de verre d'un miroir cassé ? Tu vois, je suis une ratée. Une ratée qui fait du mal. Je mange des toasts de méduse, toute nue au Pôle Nord. Cet endroit a glacé mon cœur, vide de tristesse et d'amour. Âme perdue. Je ne crains rien, ni galères, ni demain. Ne te plains pas, regarde moi, regarde ma souffrance et souffre. Reste là où t'es. Ne m'enmerde pas. Je vais doucement puis j'accélère le rythme? Toujours plus vite. Toujours plus vite. Danser plus fort que les flammes. Tu sens ton coeur battre ? Alors profite de cette sensation pendant qu'il est encore temps. Les balles volent, partout dans la pièce. Elles courent autour de moi. Les chiens aboient. Ils me mordent, déchirent ma peau avec leurs dents. Le sang coule sur mon visage, mon pelage d'humain. Je cherche, je me cherche. Tu as tord de t'attaquer à moi. Reste où tu es. La cage se resserre. Je me rapproche, doucement, telle une yeux percent l'obscurité lumineuse. Je te vois, ta baguette dans la main. Gangsta. Tu ne sais pas à côté de quel psychopathe tu es. Recule, avant que la mort suive. Mes mains m'échappent. Je tire. Dans tous les sens, partout, ici, ailleurs. Explosion du sol. Explosion de mon coeur. Que fais-je ? Serpent serpillère. Tu laves le sol avec ta petite queue. Nettoie bien, tout doit être propre pour mon passage. Allez astique et décrasse. Rince et savonne. Il ne doiut avoir aucune trace. Aucune. Zéro. Ou tu seras punie. Société suis à défie les défie les mystères et les moi tranquille. Je ne réagis pas assez vite. Ton muscle se tire et s’étend. Je te vois. Lever ton bras. Je souris. Je vais bientôt souffrir. Tes yeux-lames me repoussent. Tu rages, tu grognes. Petit bébé trop gâté. Tu ne sais pas ce que c’est la vraie vie. La dure. Celle qui détruit et grandit. Celle qui te montre à quel point ta vie ne sera qu’un infime passage dans la vie de l’être humain. A quel point tu n’es qu’un petit point sur la Terre, tellement petit qu’on ne te voit même plus. Tu ne connais pas ça toi ? Tu te crois puissante. Tu crois pouvoir changer le monde, sourire au mal ou au bien. Qu’es tu d’ailleurs ? Nan, ne me le dis pas. Je ne veux pas sur ma peauDu feu m’est tombé sur mes brasJe vois rouge, je vois noirJe ne vois plus rienDes petits bonhommes se promènent sur mes avant-brasOù sont les pompiers ? Au feu, au feuY’a la maison qui brûleSauvez moiOù est le paradis ?Laissez moi le rejoindreOuvrez moi les portesCa brûle, ça brûle Eau, eau, eauNon, je ne sens rienRésisteLarme à l’œilNonRien du toutJe suis toute puissanteJe suis la TerreLe temps défileLe sol se rapprocheTiens bon petit soldatLes secours arriventDéfend-toiAu lieu de rester immobileAgisDétruisConstruis la mortFais souffrir la souffranceFait dormir le serpentFait tordre son corpsMetalo scencioSouffre petite bestioleTu vas en baverJe vais t’anéantir comme un pauvre petit insecteEt oublier mes brûlures. Je soignerai ça plus tard. Vanille FleurySerpentard Re Château non-coopératifVanille Fleury, le Sam 11 Fév - 901 La bataille vibre autour de de deux parfaite idéaux non cette douleur…Ce mal qui ronge, qui les flammes tout colère et ce monde où la justice est perdue. Les belles phrases s'oublient pour ne garder que la souffrance qui reste, prend et tourne autour de moi, autour d'elle pour nous et le monde. Qui lui aussi ploie sous le feu. Mais les hommes ne remarquent pas, jamais, aveuglés par la beauté et la puissance des flammes, il n'observe pas la fumée, les traces que les flammes laissant. Le feu est monstre, danger, horreur. Et moi je l'ai libéré. Pourquoi ? Pour elle… Pour cette fille qui est mon opposé en tout point et qui attise la haine dans mon organisme sans me ménager. Mais moi aussi je dois arracher ma douleur, je ne suis pas forte, je ne le suis plus. Une simple créature de l'enfer, à qui on a déchiré les ailes, je suis un ange noir, une démone. Viens te battre petite lionne, tout qui est blanche dans ce monde sombre, toi qui gardes peut-être encore un peu d'humanité en toi. Peut-être auras-tu mes réponses, peut-être dois-je venir les chercher dans ton sang ? Ne me mens pas je sais qu'il y a en toi, un brin de vitalité qui me fait tellement je suis jalouse, je ne le cache plus et c'est pour ça que je veux te voir gisante, fille, oui brisée au sol comme je le suis dans les enfers, pour que tu souffres comme je saigne, que tu pleures, que nous mourions ensemble. Je suis fille des ténèbres, enfant du diable, cruelle, manipulatrice et je me ris. De tout de toi, de ta faiblesse comme de ta force. J'ai ma vie là, ici, je la sens entre mes doigts brûlant de malheur. Je pourrais te la confier, je n'en ferais rien, elle est encore à moi, j'en ai encore besoin. Je sens l’adrénaline qui circule, porte ma main à ma joue pour l'en retirer couverte de sang. Le liquide rouge coule, roule, fuis sur mon bras. Magnifique… Je lape le rubis comme un chiot cherchant le lait de sa mère. Un goût de métal explose entre mes lèvres et je jubile, mes yeux explosent, mes pupilles se dilatent, je ne suis plus moi je ne suis que diablesse. Regard fou, dents rouges, je deviens accro à cette nouvelle boisson, j'en veux encore, tu entends petite fille . Mais ma prochaine gorgée viendra de toi. J'ai soif… J'ai mal… Je vois les flammes qui se je l'aperçois elle du feu, marchant parmi les un cauchemar, comme un la vois qui s' sauvage au pied vit, elle moi, pour ce tourne à l' qu'il n'y a pas de ma tête ma bouche rire dément, un rire de se répand travers le vois sa baguette qui se lève, je n'ai plus peur, je vois ses lèvres qui bougent et je souris. J'entends un bruit qui file, je sens l'acier qui mord ma chaire. Et je souffre. Crie, crie, crie plus fort. De cette entrave, cette douleur, qui brûle et me consume de l'intérieur, je dois sortir, je me débats. Les liens se resserrent. Plaquée au sol, je vois la lumière brûlante se rapprocher, le métal qui m'entaille tandis que je combats mes chaînes, je crie, gémis. Les larmes coulent, lave en fusion sur mes joues, yeux d'éclairs, yeux de noirceur, j'ai mal, mal, mal. La fureur s'empare de mon être, je ne suis plus moi, je ne l'ai sans doute jamais été. Je veux sortir ! Animal captif, l’instinct d'horreur s'empare de moi, mon cœur bat trop vite, mes yeux roulent effrayés. Qu'ai-je fait ? Pourquoi suis-je ici ? Que s'est-il passé ? Les questions se bousculent en tendant à me faire exploser mais, elle n'y arrivera pas, je suis forte, bien plus forte. Même dans ma douleur, dans mes pleurs. Alors ma respiration se calme, mon part animal se rendors, je me maîtrise pour rester en vie sentant la brûlure du filet sur ma peau. Uniforme en lambeau je cherche des yeux la lionne mais ne peux pas bouger ma tête plaquée sur le sol. Je le regarde mais mes yeux sont différents, empreints d'un respect nouveau, je souris. Nous nous sommes battue, elle a gagné, j'ai besoin de ma vengeance mais je ne suis pas en état de la réclamer. J'aime cette lionne, d'une haine brûlante. Je souffre mais mes lèvres fendues s'ouvrent encore une fois. Mon regard de tueuse reste et ma folie meurtrière ne me quitte pas. Je ne suis plus rien, âme détruite, brûlée et enchaînée. Je murmure pour elle, pour moi, pour le monde… - Le métal m'entaille et le goût du sang qui emplit ma bouche me parle de défaite… Je suis prisonnière comme tu es libre, lionne, me voilà enchaînée car quelqu'un se doit de perdre, aujourd'hui c'était à mon tour, je ne puis bouger, je ne puis me battre, simplement t'observer et jalouser cette force qui émane de toi. Alors laisse-moi te remercier, sœur de douleur. Pour la leçon de vie et de souffrance…Je m'oublie lentement, je suis à sa merci et pourtant tellement moi. Je griffe, lionne, je mords, j'envenime et je tue. Fais attention et n'approche pas, aujourd'hui je suis le cobra, enchaîné certes, mais bien vivant. Alors viens, enfant, viens me rejoindre que je t'attrape, que je plante mes dents dans ta chair, je te respecte comme je te hais, vois la haine au fond des mes yeux brûlants, regarde et approche… Invité Re Château non-coopératifInvité, le Sam 11 Mar - 008 Désolé pour ce rp un peu pourri xEt voilà. C'est fini maintenant. Tout est terminé. Tu peux t'en aller tranquillement. Elle a perdu. Et tu as gagné. C'est fini. Tu peux partir, la laisser là, et filer comme une voleuse. Tu pourras retrouver ton lit, te recroqueviller sous la couette et tout oublier le temps d'une sieste infinie. Tu pourras marcher, sous la pluie ou le soleil, avec un sourire aux lèvres, fière et contente de l'avoir vaincue. Tes pas se feront léger, effleureront le sol et caresserons les touffes d'herbes. Et tes bras se balanceront tels la pendule du château. Tu cligneras des yeux, savoureras ce plaisir, cette victoire. Tes doigts se décrisperont et tes mains lâcheront ta baguette en bois d'amande. Les feuilles d'arbre voleront autour de ton corps en parfaite harmonie avec la nature. Et tu sourieras, encore et encore. Tes lèvres étirées vers le haut. Et tu savoureras ta victoire. Ayant enfin effectué quelque chose de ta vie. Et tu marcheras, jusqu'à en mourir. Jusqu'à la dans sa cage de métal, elle t'observe, te scrute. Son égo en prend un sacré coup. Grâce à toi. Regarde tes mains, ce sont elles qui ont vaincu cette pauvre fille. C'est toi qui l'a combattu, qui la vu fléchir, qui l'a vu se soumettre. Ce sont tes yeux qui l'ont éblouis. C'est toi seule, toi et seulement toi. Tu as agi, enfin. Elle paraît si fragile, si facile dans ce filet qui l'enchaine et l'entrave. Tu t'es défendu, jusqu'au bout, tu t'es battu, et tu ne t'es pas laissé faire. Applaudis toi. Réjouis toi. Et laisse la dans son malheur, sa tristesse et sa haine. Relâche toutes émotions qu'il pourrait encore exister au sein de ton coeur. Détend toi. Elle est hors de danger. Laisse la danser, gesticuler et parler. Ne l'écoute pas. Ne la laisse pas t'amadouer. Tu en as trop eu pour aujourd'hui. C'est fini maintenant. Terminé. Tu es libre. Et elle est perdue. Tu lis la haine dans ses yeux, mais elle ne lit rien dans les tiens. Car tu ne dis rien, ne fais rien. Reste et arrête de t'inquièter. C'est fini maintenant. C'est te voilà sur le chemin du repos. Tu es allé, tu as vu, tu as vaincu. C'est comme ça maintenant. Tu es forte et puissante. Et tu peux allé te coucher tranquillement et t'abandonner dans la paix qui parcoure tout ton corps. Tu peux maintenant te recroqueviller comme un petit bébé perdu sans sa maman. Tu peux trouvé le temos maintenant. C'est fini. Tout est du rp pour moi !Merci ♡ Vanille FleurySerpentard Re Château non-coopératifVanille Fleury, le Sam 11 Mar - 1224 Sorry panne d'inspiration /Le RP était vraiment super ! ______________________________Le combat est lionne à garde le goût amer de la qui emplit la tu ne peux plus rien lionne part, s' serres les cesses de te ne sert à rien, querelle est bien trop à rester prisonnière j'enrage, qui pourrait me sortir de ce sale pétrin quand bien même je pourrais avertir quelqu'un. Mais je sens un bout de bois sous ma main, ma baguette, je dois ne jamais avoir été aussi heureuse de la retrouver. Je soulève ma main avec difficulté causée par le filet de métal et fini par pointé mon arme en direction des mailles bien trop serrées. Diffindo Au fur et à mesures du sortilège prononcé et re-prononcé, je parviens doucement à me libérer de l'emprise du fer. Je suis dans un sale état mais le carnage est encore pire autour de moi. Alors je prend ma baguette et la pointe vers les murs et tableau cassé par le bombarda de la jeune Reparo, AguamentiPlus de fumée, objet réparés, je préfère remettre un peu d'ordre au cas ou un membre du personnel voir un préfet déciderait de passé par ici. Une fois le travail achever je commence à marcher, sans réellement savoir où je vais, pas en cours c'est certain, il faut que je soigne mes plaies, une nouvelle flopées de cicatrices qu'elle m'a infligée. Si elle pouvait savoir à quel point je la haïs, l'envie de la retrouver et si forte… Pourtant je sais que je ne peux plus rien faire dans cet état en tout cas. Mais un jour je la retrouverais, je m'en fais la promesse et ce jour ce sera à son tour de mordre la soupire je m'arrête un instant, m'appuyant contre un mur pour reprendre mon souffle. La rouge et or ne m'a pas ménagée, j’espère avoir la force de me traîner jusqu'aux cachots pour rentrer dans mon dortoir. La tête me tourne, le sang se mêlent à mes cheveux, j’espère ne croiser personne dans cet état mais je suis bien consciente que rien ne serait arrivé si je n'avais interpellée cette fille pleine de sérénité si j'avais fermé mes lèvres et que le serpent s'était tu. Alors peut être que j'aurais pu éviter de me faire ainsi lyncher par la jeune serpent si tu à quel point je te t’empares de moi sans crier me voilà bien en miette, honneur sais pour ne pas avoir résister… J'aurais aimé avoir su t' pas t'écouter juste un n'en serait pas là… [Fin du RP] Hugh DeyLégendeGryffondor Re Château non-coopératifHugh Dey, le Mar 28 Mar - 949 RP précédentJ’avais fait mon premier piège. La nuit était encore présente sur le château Poudlard. Moi, ayant pris l’apparence de Sergeï Kholov, je poursuivais ma mission. Et surtout après tout cela, je me devais d’agir normalement. Comme si rien n’allait se guidait mes pas avec rapidité et efficacité. J’avais mis du temps, comme toujours, à faire le premier sortilège. J’en mettrais encore dans ce dédale de couloirs. L’objectif, en ces lieux, était simple tracer des limites d’âge au sol et les faire se déclencher au moment opportun. Ainsi, les élèves seraient alertés par le bruit. Mais ils seraient aussi incapables de traverser certains couloirs. Ils n’auraient le droit de se rendre que dans les endroits touchés pour lire les petits mots que je leur aviez laisséMon sourire s’élargit en y pensant. C’était drôle et diabolique et extrêmement bien pensé aussi. Et puis, pour une fois, j’avais l’occasion de défendre mes couleurs. De faire ce que je pensais juste sans forcément m’en prendre à tout le monde. Je ne faisais que passer mon message. Notre messageGrâce à plusieurs Licens Saeculum Nobstatis Condicionalis, je facilitais le chemin vers mes messages, j’empêchais l’autre vers le lieu principal de l’action. Pas d’obstacle pour ce que nous souhaitions condition, comme pour les autres, viendrait en temps et en heure voulue. Quant à la limite d’âge hahaha… Félix pensait que 87 ans était assez respectable. Après tout, personne dans ce château n’avait atteint cet âge canonique. Tout le monde, moi y compris, serait touché par cette ligne et c’était parfait. Pas de passe-droit pour que Felix était là, car je savais que je n’aurais pas pu réaliser autant de sortilèges conditionnels que je le devais cette nuit, sans lui. Avec lui je savais que je pouvais y arriver. Et même avec de la chance, je parvenais à les faire plus rapidement et plus proprement que jamais. Sans même me sentir épuisé. Pour le limites déposées, il était temps d’aller de l’avant[RP Unique. Les sortilèges décrits ne se déclencheront qu’au signal. Vous verrez bien quand il apparaîtra.] Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Château non-coopératifKyara Blanchet, le Sam 1 Avr - 1625 LA d'AlhenaLaissant Aaron comater sur le canapé et quittant l'appartement, Kyara avait remonté les couloirs du personnel de Poudlard et était tombée nez à nez avec Alhena Peverell, la professeure d'Histoire de la Magie. Baguette en main, elle semblait tout aussi intriguée que sa collègue. Après quelques paroles échangées, elles se rendirent bien compte que ni l'une, ni l'autre ne savait ce qui était en train de se passer, mais que c'était tout sauf quittèrent donc ensemble d'un pas rapide, les couloirs du personnel, pour ceux de l'école. Des cris résonnaient dans le château. Serrant fortement sa main sur sa baguette, la Fourchelang ne pouvait que se souvenir des dernières attaques et de la mort de Renata. Décidément, il se passait plus de choses à Poudlard qu'ailleurs dans le pays. Légèrement en avance sur Alhena, plusieurs choses se passèrent alors en même temps. Une série d'explosions, de cris se firent entendre tandis que la Française entra violemment en collision avec ... un mur. Se tapant le nez et le front, elle se plia en deux, main gauche sur le nez avant de tendre son bras droit vers sa collègue pour lui faire signe de s'arrêter. Se redressant, Kyara enleva sa main délicatement et constata qu'elle était en train de saigner. - La vache ça fait mal. Alors qu'elle aurait pu le faire, Alhena s'approcha de la Française pour la soigner. Le saignement s'arrêta alors, même si la douleur continuait de battre dans son nez et son front. Au moins, elle ne saloperait pas de trop le sol du couloir. Tendant la main devant elle, elle fit deux pas avant de se sentir une force invisible l'empêchant de Tu en penses quoi ?- Limite d'âge, assez grande pour nous empêcher de Super. On devrait pouvoir la faire tomber à deux en se de se concentrer quand ça faisait boum boum dans la tête, mais elles n'avaient pas le choix si elles voulaient continuer. Plus de doute, le château était bel et bien attaqué ! Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re Château non-coopératifAlhena Peverell, le Sam 1 Avr - 2241 Les cendres tombent, comme le monde comme le château Les feux de l'enfer sont sur le point de s'enclencher et tu vis dans l'ignoranceUne histoire se raconte sur des pages blanches, alors qu'une autre s'écrit à l'encre rouge sur du noir. Les bruits avaient attiré l'attention et tu étais sortie de la tanière. Puis une rencontre, un échange de mot et des questions sans réponse. La baguette tourne dans une main, tu laisses la première place à Blanchet. Tu restes en arrière, l'observes d'un oeil intrigué pour de temps en temps regarder derrière. L'air bourdonne de cris et d'une atmosphère malsaine. Le chaos se répand en rigolant et tu frissonnes en l'entendant. Tu aurais préféré être de son côté que d'être attaqué. Bourreau ou victime ?Le choix est vite faite quand c'est toiUn autre bruit, un mauvais sourire dans un mauvais moment. Une légère culpabilité et un Episkey lancé. La main s'aventure, le corps suit et bute sur une paroi, une vitre qui vous retient à l'extérieur. Pas de plein fouet, simplement pour tester, comprendre. Une réflexion, un savoir qu'on est allé chercher. Les méninges s'enclenchent. C'est certainement une...Limite d'âge, assez grande pour nous empêcher de faire tomber à deux, oui bonne idée. Certainement. Mais pourquoi est-elle ici ? On dirait que nos attaquants cherchent à nous tenir éloigné de quelque chose. De quoi, qu'est-ce que c'est ? Tu prends un temps de réflexion, est-ce les mangemorts ? Tu n'en as pas le coeur net, ça se pourrait bien. Et si c'est le cas, où est donc Evan ? Peut-être qu'il était à l'origine même de cette barrière, pour ne pas que tu t'en mêles. Mais tu n'avais aucune certitude, tu lui lanceras un Patronus après avoir annihiler cette limite. Hors de question que tu restes ici alors que des élèves pouvaient être en danger. Tu te reconcentres, tu penseras à lui ou même à ton frère ensuite. D'ailleurs il est où ce crétin ?Fermant les yeux quelques secondes, tu réfléchis vaguement au sort à lancer. Peut-être un peu compliqué dans une atmosphère comme celle-ci, mais vous n'aviez pas le temps de prendre un thé pour vous détendre. Il fallait faire tomber ce truc et aider les autres. Tu te tournes rapidement vers Kyara, tu expliques vite fait ce que vous devez faire, ne sachant pas si elle a eu le temps de se remémorer la chose. Puis,Encore des bruits Encore des crisTu fermes les yeux à nouveauJuste quelques secondes,c'est insupportable, le silence te manquetu grinces des dents et reviens dans la réalitéJ'espère que ça ira. Est-ce que tu es prête ? à plonger dans l'horreur Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Château non-coopératifKyara Blanchet, le Dim 2 Avr - 130 - Certainement. Mais pourquoi est-elle ici ? On dirait que nos attaquants cherchent à nous tenir éloigné de quelque chose. De quoi, qu'est-ce que c'est ? Bonne question. Pourquoi la limite d'âge était présente. Pour empêcher les sorciers de passer, c'était sur. Tant les élèves que les membres du personnel de Poudlard ou tout du moins, ceux dans la vingtaine. Curieuse, la professeure de Soins Aux Créatures Magiques se demanda à quel âge la limite avait été fixée. Soit les attaquants étaient des croûtons, soit il y avait un seul itinéraire, soit ils avaient emprunté un passage secret. Bref, plusieurs possibilités, peut-être qu'elles étaient toutes fausses d' mordillant la lèvre tandis qu'elle essayait de réfléchir, Kyara haussa les épaules. S'ils ne voulaient pas qu'ils passent, c'était qu'ils ne voulaient pas être dérangés. Il y avait eu des explosions, ils voulaient occuper tout le monde le temps de faire .... On ne savait quoi. Pour le moment, ça n'était pas vraiment le questionnement principal. Les deux professeures devaient faire tomber cette limite d'âge. Pas non seulement pour qu'elles puissent passer, mais pour permettre à quiconque de le élèves n'étaient pas assez puissants pour annuler le sortilège contrairement aux adultes. Pour peu qu'il y avait des élèves blessés, ils devaient être bloqués quelque part. S'il y avait bien quelque chose que la professeure de Soins Aux Créatures Magiques ne supportait pas, était les élèves morts. Il fallait à chaque fois remplir 8249255 parchemins expliquant la situation, les conséquences. Bref, de la paperasse encore et encore et encore. Alhena la tira alors de ses pensées lui expliquant la marche à suivre. La Fourchelang grimaça légèrement, enchaîner les contre sorts demandait pas mal d'énergie, elle espérait donc qu'elles ne devraient pas se battre. La professeure d'Histoire de la Magie était encore en bon état contrairement à Kyara. Foutue limite d'âge. - J'espère que ça ira. Est-ce que tu es prête ? - C'est pas comme si on avait le étaient encore seules, autant faire disparaître cela avant l'arrivée d'autres sorciers. Inspirant profondément, l'ancienne Serpentard commença en prononcer des contre sorts, très vite Alhena en fit de même. Cela n'allait pas céder si facilement, mais elles allaient réussir. Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re Château non-coopératifAlhena Peverell, le Dim 2 Avr - 1921 LA de KyaraC'était certain, vous n'aviez pas vraiment le choix. Ou alors si. Vous auriez pu faire vos imbuvables humaines, partir et prendre un thé dans un des appartements. Quoi que toi, peut-être que ça ne changerait pas grand chose. C'est pas comme si tu ressentais beaucoup de chose en vrai. Les sentiments, la question de culpabilité tu préférais les éviter. Mais les pulsions revenaient sans préavis. Tu te retrouvais face à un miroir, où tu devais accepter un certain nombre de chose, que tu évitais chaque jourLâche Soupirant, tu observes Kyara enchainait les sorts. Tu t'attèles à la tâche le plus vite possible. La langue claque, les muscles se contractent, la fatigue gagne en terrain. Mais vous ne vous arrêtez pas. L'école est attaquée et ce n'est certainement pas une foutue limite d'âge qui allait vous arrêter. Certains sorts rebondissent à cause d'une mauvaise prononciation, tes esprits s'enveloppe de brume. Tu tentes de réfléchir à ce qui se passe dans le château, où sont les autres. Comment va ton frère, tes disciples, le père de tes enfants. Un sourireEt le monde extérieur ? Est-il au courant de ce qui se trame dans le château ? Est-ce que ta famille s'inquiétait ? Tu ne devais pas échouer, pour euxCela commence sérieusement à m'énerve, nous n'avons pas que ça à faire. Cette foutue limite d'âge me tape sur les prenez une légère pause pour reprendre souffle. Puis d'un accord commun, vous vous remettez au travail. Cette chose allait finir par céder, vous n'étiez pas des incompétentes tout de même. Si certains y arrivent facilement, vous finirez par arriver au bout. Il n'y avait aucune raison. Vos matières n'étaient peut-être pas prédisposées à la chose, mais ça ne voulait rien dire. On trouvait dans les soins aux créatures magiques, des demandes de sortilèges bien puissantes. Et puis toi, tu n'étais pas qu'une bibliothèque sur pattes. Les entrainements de jeunesse et ceux que tu faisais encore aujourd'hui, te permettaient de faire pas mal de chose. On devrait essayer de se coordonner un peu mieux. Tentons de viser le même endroit, au même moment avec le même sortilège. Puis on recommence avec un autre sort. Cela donnera plus de puissance aux sortilèges et à l'impact, on créera une brèche peut-être. On avancera certainement plus vite après. Là, le temps presse, nous ne pouvons pas nous permettre de rester ici des heures. Lançant un sourire à ta collègue, vous vous mettez d'accord sur un sort bien précis et sur l'enchainement à suivre. Vos sorts se précipitent vers un même endroit, vous continuez ainsi pendant quelques dirait que quelque chose est en train de se produire. Cela est plutôt bon signe vous alliez bientôt pouvoir courir vers l'ailleurs Invité Re Château non-coopératifInvité, le Dim 2 Avr - 2114 Il y avait une drôle d'ambiance dans le château sans qu'elle ne puisse la saisir. Cela rampait partout tout en étant nulle couloirs étaient terriblement silencieux. Ce calme transit de froid la mettait mal à l'aise. Un faible clapotis résonnait sur les elle la sentit. Une odeur se dissipait ; elle ne capta que les relents. Elle ne sut définir mais cela la prit au où était passé tout le monde ?Eurydice se dirigeait vers les dortoirs pour récupérer un ouvrage. Son corps refusait de se détendre et elle en avait bien besoin. Maintenant en proie à des nausées ;une irritation grandissante lui chatouillait la peau à mesure qu'elle s' cri strident retentit enfin ainsi que des bruits de pas affolés, désordonnés. *Mais qu'est ce qu'il se passe bon sang ?*Elle eut soudain une envie malsaine de faire taire ce cri hystérique, de l'écraser. Cela n'aidait pas à calmer ses nerfs. Ses mains devinrent pensée lui mordillait l'oreille, jusqu'au sang. Elle la fit taire d'un fallait absolument qu'elle s'informe, qu'elle trouve des professeurs. Elle passait son temps, enfermée dans son monde et maintenant elle était prise au dépourvu. La situation lui échappait totalement. La brune poursuivit son chemin à une allure folle bifurquant à droite. Elle devait première chose qu'elle vit, c'est un visage familier et des autre. Ses lèvres s'ouvrirent mais les mots moururent sur celles-ci. Elle était fascinante habillée de son air deux professeures étaient en pleine discussion. Elle comprit quelques bribes. Pas ne put se résoudre à s'imposer même si des questions lui brûlaient les lèvres et fit finalement quelques pas dans la direction inverse dans une naïveté enfantine. L'hésitation l'avait tiraillée et elle avait fait le mauvais glissant. Souffle coupé. C'était une cacophonie infernale dans son crâne à coups de grésillements. Quelque chose se fracassa en elle, tandis que son crâne effleura le sol. De longues secondes tombèrent toutes ensemble. L'invisible mais concret mur, l'avait trahie sans une once de remords. La Serpentard resta dans l'obscurité encore un petit moment. Elle aurait voulu crier mais le silence se logea profondément dans sa gorge. Son humeur décida de la laisser en ressemblait à une étoile avec ses cheveux bruns étalés sur le sol. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Château non-coopératifKyara Blanchet, le Dim 2 Avr - 2238 Les sorcières se lancèrent ensemble dans une sorte de chant, ou prières, difficile à savoir quand on voyait la scène de l'extérieur. En tout cas, elles enchaînèrent les contre sortilèges. Marquant une pause, elles reprirent leur souffle et Alhena commença à montrer son agacement. Compréhensible, mais ça n'était pas avec la colère qu'elles allaient réussir à faire tomber la limite. Maudissant le sorcier l'ayant mise en place et espérant qu'il allait mourir dans d'atroces souffrances, la professeure de Soins Aux Créatures Magiques souffla sur une mèche folle barrant son avait toujours mal d'ailleurs, il faudrait qu'elle se soigne d'ici la fin de la journée si elle ne voulait pas finir défigurer pour le restant de ses jours. Elle exagérait un peu, mais bon. Il ne fallait pas négliger les vieilles blessures, celle qu'elle avait eu dans le passé à la cheville ne cessait de lui rappeler à chaque fois qu'il On devrait essayer de se coordonner un peu mieux. Tentons de viser le même endroit, au même moment avec le même sortilège. Puis on recommence avec un autre sort. Cela donnera plus de puissance aux sortilèges et à l'impact, on créera une brèche peut-être. On avancera certainement plus vite après. Là, le temps presse, nous ne pouvons pas nous permettre de rester ici des plan. Elles se mirent alors ensemble au travail et cela sembla marcher, elles continuèrent sur cette lancée, quelques minutes plus tard, le mur céda. Arrêtant les formules, Kyara essuya la sueur qui perlait légèrement avant de s'approcher lentement en tendant la main. Ses doigts ne rencontrèrent rien d'autre que du vide. Un grand sourire sur les lèvres, elle se tourna vers Alhena avant que son regard ne se pose plus loin. Non loin d'un mur se trouvait ce qui semblait être une élève au les soucils, la Fourchelang la pointa alors du doigts à l'intention de sa collègue avant de prendre la Je vais continuer, je te laisse te charger d'elle ! On a fait du bon travail !Adressant un dernier sourire à la sorcière, Kyara pivota pour continuer sa route, déterminée, prête à en découdre ou se reprendre un mur en pleine tronche. Au choix. Re Château non-coopératifContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
L'hymne du royaume II Dieu est venu, Dieu est Roi Chanson Chrétienne avec paroles I En ce moment extraordinaire, en cette époque exaltante, là-haut, dans les cieux, et ici-bas, tous, ils chantent, chantent, chantent ses louanges. Qui ne serait pas en émoi ? Qui ne serait plein de joie ? Qui ne verserait pas une larme ? Mais le ciel n'est plus le même qu'hier, c'est désormais le ciel du royaume. La terre n'est plus la même terre, c'est un lieu de sainteté. Après la grande pluie le monde ancien est purifié. II Tout est en train de changer les montagnes et les rivières, toute la création, même les hommes. Ô calmes montagnes, levez-vous et dansez pour Dieu ! Eaux dormantes, réveillez-vous ! Hommes qui rêvez, levez-vous et avancez ! Dieu est venu, Dieu est Roi. Tous verront de leurs yeux Son visage, entendront eux-mêmes la voix de Dieu et puis ils vivront par eux-mêmes la vie du royaume. Si extraordinaire ! Si délicieuse… C'est inoubliable ! III La colère ardente de Dieu fait plier le grand dragon rouge. Son majestueux jugement révèle le vrai visage du diable. Sous les paroles sévères de Dieu, l'homme est pris d'une si grande honte, Il n'a nulle part où se cacher. Puis il repense comme il se riait de Dieu comme il s'affichait constamment, désobéissant à Dieu chaque instant. Mais regardez aujourd'hui ! Qui n'a pas de larmes ? Qui ne s'en veut pas ? A travers l'univers, tous sont emplis de larmes, tous emplis de joie, tous emplis de rires. Une extase infinie. IV Une fine pluie crépite. La neige tombe à gros flocons. Les nuages filent dans le ciel. Les océans se déchaînent sur toute la terre. Les hommes sont envahis de peine et de joie. Certains rient ou pleurent, ou bien crient de bonheur. Tout le monde semble avoir oublié. Est-ce un jour de bruine de printemps ou un jour d'été florissant ? ou un jour de riches moissons en automne, ou un jour d'hiver froid et glacé ? Nul ne saurait dire… V Les fils de Dieu dansent de joie. Le peuple de Dieu saute de joie. Et les anges sont à l'œuvre. Ils sont les bergers des hommes. Sur terre les hommes s'activent à leurs travaux et toutes les créatures se multiplient. Le ciel n'est plus le même qu'hier, c'est désormais le ciel du royaume. La terre n'est plus la même terre, c'est un lieu de sainteté. Après la grande pluie le monde ancien est purifié. Extrait de Suivre l'Agneau et chanter de nouvelles chansons »
La vie n’est pas un long fleuve tranquille, c’est plutôt un océan qui se déchaîne parfois. Comment mener sa barque et tenir son cap, même contre vents et marées ? Clémence veut mettre à profit cet été pour développer 62 réflexions introspectives, dans le but de devenir sa meilleure alliée… et donc une meilleure version d’elle-même. Rendez-vous tous les jours sur 62jours pour devenir meilleure un exercice de développement personnel en pratique. Précédemment dans 62jours Au pied du mur garde les yeux sur la ligne d’arrivée Je rebondis sur ma réflexion d’hier, au pied du mur. J’ai les yeux rivés sur la ligne d’arrivée, et je vais tout mettre en oeuvre pour réussir à atteindre mes objectifs. Sauf que tout », c’est seulement ce que je peux maîtriser. Mais il y a tout le reste. C’est comme si j’étais à bord d’un bâteau, que je peux manoeuvrer seule. La meilleure version de moi-même est ce capitaine, qui, au début de l’été, restait bien près des côtes. Ça y est, on a gagné en confiance, en expérience, et il est prêt à prendre le large. J’ai une boussole, un cap, je suis déjà en route. Ma plus grande appréhension, à ce moment, c’est la grande inconnue tous les paramètres que je ne maîtrise pas. Naviguer par gros temps Je peux être le meilleur capitaine du monde, si j’ai à traverser une tempête, si je casse un mât, si je déchire une voile, je vais avoir besoin d’aide. Je vais être retardée. Je risque de m’ échouer. La meilleure préparation du monde ne me préservera jamais contre les aléas de la vie, tout ce qui nous arrive et qu’on ne maîtrise absolument pas. Je parle des petites frustrations aussi bien que des grands drames de l’existence. Un mot de travers, une dispute, une rupture, un décès, toutes les blessures de l’âme et du coeur que seul le temps permet de réparer… C’est pire qu’un claquage à la veille d’une compétition, parce qu’au moins les blessures physiques se voient, et suscitent de la compassion. Quand t’as le seum, t’es juste ronchon » pour les gens qui ne te connaissent pas. Vents contraires S’il y a bien une fierté que je tire de ma pratique de la méditation, c’est d’avoir réussi à être moins à la merci de mes émotions. J’ai réussi, en deux mois, à me débarrasser du filtre de la colère, à me détacher de la haine, par exemple. Je bosse sur la gestion des frustrations, ça m’a demandé beaucoup de patience, mais ça commence à venir. Ce ne sont que 3 sentiments négatifs parmi tant d’autres, mais le schéma reste le même c’est moi-même qui génère ces émotions, j’ai donc, quelque part en moi, le pouvoir de décider si je les laisse m’affecter ou non. Un peu comme si je soufflais des bulles de savon, oui c’est moi qui les crée. Pas volontairement, car elles sont souvent la conséquence d’un événement qui se produit. C’est pas la critique ou la dispute qui me fout le seum, c’est la déception d’entendre des paroles négatives dans la bouche de quelqu’un que j’admire, que je respecte. Une rupture, c’est juste une étape de vie. Ce sont les regrets, la trahison, la colère, les frustrations qui m’affectent, longtemps après l’événement, qui restera anecdotique à l’échelle de ma vie. Toutes ces émotions négatives, que je génère en réaction aux éléments extérieurs, sont des vents contraires. Elles me repoussent vers le port. Et je n’ai pas les moyens de faire tourner le vent. En revanche, j’ai toujours la possibilité d’ajuster mes voiles. Ajuste tes voiles C’est la mise en pratique de ma grande découverte de l’été mes émotions ne sont pas des boulets qui me lestent. Je peux les utiliser, même les émotions négatives. Je n’ai pas à les subir, et je n’ai pas non plus à les refouler. J’ai juste à les accepter, et en faire quelque chose. Si je ne peux pas me prémunir contre les aléas de l’existence, je peux réagir à ce qu’ils suscitent chez moi. J’arrive très bien à utiliser la colère en combustible. Je peux cramer des litres de colères en courant des heures. Les frustrations aussi brûlent très bien dans mes jambes, elles crépitent comme un feu de paille. Je transforme en énergie ces émotions qui me pèsent si je les laisse juste prendre leurs aises dans ma poitrine. Mais je n’ai pas à les subir, et comme elles prennent trop de place, je les comprime, j’en fais du petit bois à utiliser en combustible pour faire monter la vapeur. J’ai déjà couru pour brûler des colères et des frustrations, j’avais juste jamais compris que c’était un mécanisme que je pouvais actionner consciemment accepter ce que les événements de la vie provoquent en moi, choisir de ne pas subir ces émotions, et les utiliser comme énergie pour aller dans la direction que je souhaite prendre. C’est comme si j’avais appris, cet été, à ajuster mes voiles en fonction du sens des vents. Certains jours, une brise de sérénité me pousse doucement au fil de l’eau. D’autres jours, des tourbillons de motivation et d’optimisme me portent loin vers mon cap. D’autres jours encore, des vents contraires me secouent violemment, et me feraient ralentir, si je ne savais pas virer de bord, et continuer ma progression en ajustant mes voiles. Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve au cours des 26 prochains jours, au cours des semaines, des mois, de l’année à venir. Mais je n’ai plus besoin de le savoir j’ai une boussole, j’ai un vaisseau, je suis seule maître à bord, et je sais désormais ajuster mes voiles pour continuer à avancer. Même contre vents et marées.
Raquel "Wes" Baeza“ all night long slow down the song ”☇ Nom complet →Sa mère a posé une douceur sur son front quand elle l'a embrassé pour la première fois, une crevette entre ses bras. Raquel. Tendre prénom a des lieux de l'homme qu'il est devenu. Elle y a mit toute sa bonne volonté, mais elle n'aurait pu prédire les accidents de la vie. Alors, il ne laisse pas les malheurs et les regrets tâcher ce souvenir d'enfance, si fragile dans sa mémoire. Ici, ils l'appellent Wes. Wes Baeza qui chante sur la langue. ☇ âge →Il a vu le jour le 2 Août 1974 à Valparaiso au Chili, il fête cette année ses 46 ans de dur labeur et n'en donne pas l'air, la carcasse a gardé l’énergie sage et contrôlée de la trentaine. La mentalité, elle, fait bien son âge, parfois plus arriérée qu'il ne voudrait. Il n'a pas perdu la mémoire sur certaines choses. ☇ nationnalité & origines → Chilien d'origine et de nationalité, il n'a pas la nationalité Américaine. Il ne se reconnait pas dans cette patrie, il est forcé de courber l'échine pour son propre bien et celui de tous. ☇ race &pouvoirs →Lycan issu d'une grande meute dont sa branche a toujours vécu au Chili. Il évolue seul depuis des nombreuses année, arrachés à son sang, solitaire aux commandes de sa propre armée de louveteaux dressés pour lui obéir et lui faire honneur. De part son implication dans des activités illégales, il possède plusieurs bijoux de lunes aux diverses effets ☇ finances → Il a connu la misère pendant la majeure partie de sa vie. Puis, il a apprit à se débrouiller tout seul et bâtir son propre empire. Il n'est pas millionnaire, mais Raquel peut vivre l'esprit tranquille, il a de quoi refaire sa vie ailleurs si les choses tournent au vinaigre, il se garde bien de le dire aux autres. Au quotidien, il se contente de vivre avec le strict nécessaire, les bénéficies partent rapidement dans tout ce dont ses deux enfants ont besoin.. ☇ Profession/études → Nombreuses sont les casquettes, tantôt magicien, tantôt marin, père a temps plein. Depuis son arrivée en ville, il n'occupe aucun poste officiel, tout se joue dans l'ombre. Il tire les ficelles de ses pantins et récolte les gains. Voleur passé maître dans l'art, entraîneur, parieur, par le passé il s'est lui aussi battu dans les mêmes arènes où il envoie les garnements qui frappent trop fort pour agiter leurs doigts avec agilité. Il gère sa petite entreprise d'une main de fer dans un gant de velours. Éminence de la pègre qui n'est pas venu pour la couronne mais pour le trésor ☇ situation amoureuse → Raquel est un solitaire dans l'âme, il est naturel qu'il en soit de même pour le coeur. L'homme est attaché à ses biens matériels, sa liberté et les enfants qu'il éduque. Il n'est pas une moitié à combler, le lycan se suffit à lui même et s'épanouit dans son célibat, libre comme l'air. L'amour comme toute autre chose se marchande, mais ce n'est pas un drame, le drame serait de s'attacher, de s'enchaîner à quelque chose et se dire pour la vie alors que la vie est vaste. Si il doit tomber pour quelque chose, il a toujours préféré la finesse d'un esprit aux belles courbes, aussi enchanteresse soient t-elles. Il se recherche dans l'autre, preuve suffisante qu'il a avant tout un profond amour pour lui même. Il n'y a pas de palce pour une muse dans sa petite affaire.! ☇ son fandom/univers → t'habite bien quelque part. “ where did your heart go missin' ”01. Wes est un homme passionné, ce qu'il fait, il le fait avec toutes ses trippes. Il ne connait aucune limite quand il s'agit de ses intérêts, une fois qu'il a une idée en tête il fera tout pour qu'elle se réalise. Et elles sont nombreuses ses idées, c'est qu'il y en a la dedans, pas toujours du même génie les unes des autres. Wes est le cerveau et ses "enfants" font offices de bras et ça tombe bien qu'ils soient deux, un gauche et un droit. Peu importe le temps que cela lui prendra et l'énergie qu'il devra y investir, Wes ne connait pas l'abandon. Il n'y a que peu de choses qui lui font peur encore moins quand il est entouré par sa nouvelle famille, il est conforté dans sa supériorité et se sent invincible. La chose lui monte rapidement à la tête, c'est le seul moment où il est vraiment vulnérable ; sa vigilance baisse quand il est persuadé d'avoir gagné d'avance. 02. N'étant pas originaire des Etats-Unis, Wes ne parle pas très bien l'Anglais. Il n'a jamais été bon en langues quand il était encore étudiant et son métier ne lui demandait pas forcément d'être habile avec les mots, seulement d'impressionner avec ses gestes et d'embobiner un peu la foule. Il a apprit sur le tas et son accent roule toujours sur sa langue, il échange certains mots avec d'autres et ne sait pas exprimer les émotions complexes autrement que dans sa langue natale. Il a prit l'habitude de ne pas s'attarder, de parler franchement et avec le moins de mots possible, ce qui n'arrange pas son autorité. Il oublie de se traduire quand il est énervé ou quand il Wes est attaché aux choses anciennes, nostalgique de sa jeunesse, de son "époque". Il a raté le coche technologiquement parlant, il est attaché aux vielles traditions. Si il n'avait pas deux jeunes pour partager son quotidien, il serait probablement largué dans ce monde qui évolue à toute vitesse et lui qui aimerait qu'il reste immobile. Peu de choses effraient Wes, si il y a bien une chose qui peut le mettre dans le mal c'est le temps qui passe. Ce n'est pas quelque chose qu'il peut contrôler, qu'il peut arrêter à sa guise. L'homme est habitué à ce que les choses lui obéissent ou prennent la direction qu'il désire. L'avenir est imprévisible. Alors, il s'inquiète, sans le montrer, en faisant mine de n'en avoir rien à faire, de se foutre complètement de voir les gosses disparaître. Parce que c'est tout l'inverse. Parce que sans eux, parfois il ne sait pas ce qu'il deviendrait. Parce qu'il n'y a qu'eux. 04. Wes c'est ce double jeu constant, il jongle avec la glace et le feu. C'est comme ça qu'il a grandit, entre grognements et caresses, il ne saurait faire autrement. Il est authentique, entier, il n'y a pas de demi-mesure. Seulement des jours noirs et des jours blancs, à danser avec les extrêmes et exploser de colère ou de joie. Même quand il est heureux, demeure cette pudeur. Wes a cette volonté de s'imposer comme ce qui pourrait s'apparenter à un Alpha, mais il insiste sur le fait qu'il n'y a pas de réelle hiérarchie entre eux, que c'est une entreprise. Il ne veut pas être assimilé aux principes des autres lycans alors qu'il a décidé de laisser derrière lui ce cadre rassurant. y a des cicatrices sur sa peau. Des balafres qui n'ont jamais bien cicatrisées. Souvenirs des chasseurs qui ont réussi à lui mettre le grappin dessus, imprégnées dans son être désormais. Il y a ce corps qu'il refuse de voir dans un miroir, qu'il ne hait pas, qu'il ignore simplement. Il ferme les yeux se le ressent, ses muscles, son coeur battant, cet appétit pour le monde. Il se fiche des apparences, de ce que les autres peuvent voir. Wes se considère avant tout comme un esprit, un cerveau dans une enveloppe. Il n'est pas triste à l'idée de l'abîmer un peu plus, de le briser. Tout se joue dans la tête. Quand il est question de ne faire qu'un avec son corps, c'est là que son vrai potentiel se révèle. Wes n'est pas un scientifique, ni champion d'échec, la plupart du temps il est même un peu brute qu'on pourrait penser écervelé. Il est en revanche déterminé. Fort mentalement. puis, il y a les cicatrices invisibles, celles faites à l'âme qu'on ne peut pas soigner. Car, naturellement, Wes n'ira pas en parler. Il n'ira pas raconter ce qu'il a vécu. Les séquelles qu'ont laissé sa séparation forcé avec sa meute et le vide immense qu'il a traversé avant de se reconstruire. Morceau pas morceau, pour devenir un homme nouveau, un homme meilleur, en laissant des bouts derrières, en prenant ce qu'il trouvait d'intéressant chez les autres. Il n'est pas le meilleur des "pères", quelque part entre pire et mieux que rien. Il n'encourage pas le partage des peines que pourrait-il en faire de toute façon ?. Il se moque des pleurs, n'hésite pas à faire culpabiliser les gamins pour leurs erreurs. Il ne veut que le meilleur, ils ont toujours des choses à prouver, rien n'est acquis. C'est sa réputation en jeu, l'ego pansement. Il se garde bien de leur avouer qu'ils constituent une fierté, aussi. Lui même ne comprend pas totalement cet attachement profond, ce lien invisible qu'ils ont réussi à bâtir. Il est là. Dans ses cauchemars, ses démons n'hésitent pas à tirer dessus. choisir entre l'alcool et la caféine, Wes encourage les siens à carburer au café. L'alcool est particulièrement mauvais chez lui, il révèle toute son agressivité et sa mauvais foi. Il est grisant de perdre le contrôle et de disposer d'autant d'énergie. Il est parfois tenté de s'oublier et de laisser les verres chasser ses pensées, lui permettre de renouer avec sa nature profonde. Il lui semble alors que la vie au quotidien est au ralenti. Et c'est exactement pour cette raison qu'il se limite, se force à ne pas y toucher. Le goût de la liberté est trop bon sur ses lèvres. Raquel refuse de devenir un monstre, il sait aussi ce dont il est capable quand il n'y a plus de filtres. C'est déjà arrivé une a une fascination étrange pour les voitures de collections, les caisses vintages et celles qui en ont sous le capot. C'est la vitesse, sa drogue. Il n'a pas l'argent pour s'en acheter, il se contente de les voler. La ville est un concessionnaire automobile à ciel ouvert pour ses mains baladeuses. Quand il ne joue pas le simple pick-poquet, il prépare de grands casses pour se procurer des bijoux de mécanique qu'il revend le double ou le triple. Quand il n'est pas occupé à entraîner ses louveteaux pour les combats illégaux, il repeint et transforme les voitures volées pour se faire du bénéfice après s'être amusé avec pendant un temps C'est aussi le seul moment où il se calme. Il est commun de le voir changer de voiture, les gens pensent en général qu'il est riche comme crésus. Cela fait partie de la propagande, il se montre devant ceux qui viendront miser sur ses jeunes et fait l'apanage de cette soit-disant réussite. Ah, certes, il gagne vraiment, sauf que personne n'en verra jamais la couleur. vit selon ses propres principes. Nulle religion ne l'a jamais convaincu. Il la méprise, se moque d'elle, de cette invention ridicule des hommes. Un type qui marche sur l'eau ne leur fait pas peur, mais ils brûlent des sorcières. Ils oppressent des créatures qu'ils ne comprennent pas et viennent prêcher l'amour avec un grand A. C'est toutes ces règles qu'il renie, ces principes que les gens s'imposent pour se donner bonne conscience. Raquel est son propre maître, il dicte seul sa ligne de conduite. Fût un temps, où il ne jurait que par sa meute, où il pensait qu'être Alpha était la seule manière de prouver au monde sa valeur. Il a fait de sa solitude une force, son indépendance un joyau précieux. Les autres ressentent le besoin de définir ce qu'il a fondé avec Caleb et Aya. Alors ils disent qu'ils sont une Meute et peut-être que d'une certaine manière c'est le cas. Wes leur dit qu'ils sont eux, ensemble, qu'ils s'aident et profitent des atouts de chacun, s'assemblent. Oh, si ils savaient. Ils sont bien mieux qu'une Meute. sont trois et ils sont si efficaces qu'on pourrait presque croire qu'ils sont infiniment plus nombreux. Pour Wes, ils sont un tout, ça lui fait mal de l'admettre, il est vrai que sans eux ce serait différent. Les affaires n'iraient pas aussi bien. C'est qu'il n'imaginait pas que les choses allaient aussi bien matcher. Aya est officiellement la première, Caleb est arrivé en dernier. Il les a choisit tous les deux et leur a laissé la chance de le choisir. Wes ne force personne à le suivre, il trouve les bons mots et tend sa patte et ses promesses. Il leur montre le meilleur, ce qu'ils pourraient devenir. Il voit leur potentiel, leur désir de liberté et il leur montre comment l'embrasser. Se surpasser. Et il est fier, Wes, de constater que tout le monde s'accorde aussi bien, qu'ils soient soudés. Ce sont ses deux champions qu'il protégera jusqu'à la mort tant qu'ils lui sont utiles, tant qu'ils lui sont loyaux, il leur doit bien ça, pour tout ce qu'ils font pour lui. C'est donnant-donnant. Il est vrai que Wes pense surtout à lui et ses arrières, mais il ne faut pas croire qu'il laisserait quoi que ce soit leur arriver.“ quelques roses, beaucoup d'épines dans le coeur ”iIl a grandi sans cette peur de la transformation, appréhendant ce moment avec une sorte de fierté. Le moment où il serait officiellement des leurs, baptème du feu. Il s'est épanoui sans jamais douter de qui il était. Il es né lycan, dans une famille de lycan, à sa place. L'échine courbé, perclus d'admiration pour un père alpha, gardien de sa meute et dieu absolu. Ce cocon était d'un amour pur et sincère, très puissant. Parfois envahissant, qui ne laissait pas entrevoir autre chose. Il a apprit très jeune à se taire, cacher ce scret au monde et ne pas se méler à ses camarades humains, ne pas se battre en grandissant pour ne pas attirer l'attention sur lui. Il n'aurait pas pu souffrir de cette mise à l'écart, il y avait sa maison. Sa meute. Voilà à quoi se résumait son monde. Tout le reste autour n'avait qu'une moindre famille de Raquel est grande, il est le quatrième enfant et il n'est pas le dernier, il est seulement le plus petit. Il est né chétif, ridicule, incapable de s'arrêter de pleurer. Elle voulait qu'il soit doux et bon. Une bouille à cajoler. Mama n'a que deux bras, mais elle porte sur ses épaules la petite famille. Raquel a toujours aimé la relation qu'il entretenait avec sa mère. Il y avait ces moments où elle oubliait qu'il était son fils, lui laissait le linge et les fourneaux, et les moments où elle savait le remettre à sa place. Elle était belle et menaçante. Elle lui a enseigné que l'on peut avoir un coeur et être fort. Tout ça, il l'a oublié, longtemps après, comme il a oublié le son de sa voix, ses chansons et ses larmes dans ses bras. Il n'a pas oublié son père. Exigeant, qui parfois frappait pour se faire entendre. Cet homme là, c'est celui qui l'a éduqué, qui l'a dressé comme son petit chiot, qui l'a taillé dans la pierre brute. L'amour de ses frères et soeurs s'est perdu au fil du temps. Il a fallu se le réaproprier. Parfois ils lui manquent, sans qu'il ne sache pourquoi. Parce que c'est le même sang dans leurs veines. Jamais la meute ne lui manque. Si jamais il tend à se sentir mélancolique, à la recherche de quelque chose de regarde Caleb et Aya. Et il merde.iiIl n'est jamais monté sur un bateau, Raquel, il restait au port à regarder les hommes aux muscles saillants, la sueur perlant sur leurs fronts et les cheveux plaqués sur leurs fronts. Il balançait ses pieds par dessus les caisses et jouait de sa voix déjà grave pour transmettre les ordres de son père. Il a encore l'odeur du cambouis et de la mer dans les narines, c'est une odeur intenable qui ne s'oublie jamais. Elle vous prend aux tripes, surtout quand les pêcheurs sont venus déposer leurs cargaisons la veille. Il ne s'imaginait quitter la terre, poser ses pieds sur un sol qui tangue et voguer sur les océans. L'obscurité l'a toujours effrayé, les fonds marins qui engloutissent les navires et ne recrachent pas toujours les hommes. Ce ciel à perte de vue. Les histoires des explorateurs ont bercé son enfance ; les premiers colons, les hommes qui sont venu sur cette terre l'ont fait sienne. Aujourd'hui, c'est les conteneurs que l'on empile sur d'immenses rafiots aux coques abîmées, il n'y a plus rien à explorer, seulement des Bermudes où se perdre. Ce n'est pas quelque chose qui l'intéresse. L'nedroit avait aussi sa petite musique qui le berçait le soir, il entendant encore dans ses oreilles le bruit des grues et des mouettes, des caisses que l'on port c'est un endroit dans lequel il aime revenir aujourd'hui encore quand la mélancolie vient le se souvient des lampes à huiles et des hommes rassemblés pour se cuiter aux heures où ils devraient rejoindre leurs maisons. Raquel était de la partie, à la suite de son père comme un petit toutou. Après tout, Papa était l'Alpha de leur meute, c'était naturel de le suivre. Une fois par semaine - sauf en période de pleine lune ; papa prétextait une prière à un quelconque dieu païen - ils allaient dans ce bar dont la réputation n'était pas très bonne. Où les filles dévoilent leurs poitrines facilement et consolent les marins loin de chez et ceux qui essayent de fuir ce chez eux, la musique est mauvaise et la bière à le goût de pisse. On y rit bien, on y danse bien. Il a tapé ses plus déhanchés là avec l'alcool dans ses veines. Ce n'est pas pour les serveuses qu'il était fidèle au rendez-vous. Elles passaient dans ses bras sans qu'il ne puisse s'attacher, sans qu'il ne ressente l'envie d'y retourner. Leurs lèvres elles aussi avait le goût du port. Il laissait les autres s'amuser et ne mentionnait jamais ce que papa faisait, les bouteilles qui défilaient. Il préférait parler avec Camil. Camil et ses cartes qu'il cachait dans sa poche, il n'a jamais perdu une partie de pocker, il n'en a jamais gagné une non plus. Il trichait. Et Raquel le fixait de ses grands yeux ronds, attentif aux gestes habiles, aux doigts qui dansent autour des poignets, qui se glissent dans les poches. Dépouille d'une pièce, abat un As, s'enrichit d'un porte-feuille. Il voulait comprendre, voir le moment où l'échange avait lieu, l'instant où la concentration se relâchait. Un jour, il s'est assit en face de lui pour jouer et au milieu de la partie, alors qu'il est en train de perdre, il lui a enfin demandé. "Apprend-moi." iiiLes tours fonctionnaient bien auprès des touristes. Il commencait à se faire une petite réputation. Camil a prit sa retraite et lui la relève. Il ne se cache pas, Raquel rêve au contraire de gloire. De faire de cette magie ordinaire son gagne-pain. Maman est encore souriante quand il en parle et elle pose une main sur les épaules de son père, pour le rassurer. Elle pense encore qu'il changera d'avis et qu'il trouvera quoi faire de sa vie. Dans le pire des cas, si il ne trouve pas, il finira comme l'Alpha. Sur les docks, à entretenir la machinerie humaine qui charge et décharge ces mêmes conteneurs depuis des lustres. Elle ne s'inquiètait pas, car il y a toujours un plan de secours. Elle lui disait tous les soirs. Et plus le temps passait, plus ses paroles étaient méfiantes. Plus elle començait à se faire du soucis pour de vrai et l'avertir. Le mettre en garde. Fait attention. Ne t'approche pas trop. Sauf que demander à un jeune homme dont les hormones sont bouillantes de ne pas s'approcher du précipice, de tourner le dos à une gloire montate, c'est peine scènes en scènes, de villes en villes, à travers le Chili, puis par délà les frontières Argentine, Pérou, Brésil. Il se pavanait dans son costume brillant. Il arnaquait les gens de bon coeur, parce qu'au début il avait cette sincérité. Jusqu'au jour où le rêve s'est transformé en cauchemar. Où les filles à ses pieds qui demandait l'attention n'étaient plus aussi jolies, la plastique imparfaite, un sourire faux et insistant. Elle était insistante Carlota. Trop. Il l'avait abandonnée dans un hotel moisi et elle l'avait retrouvé sans peine. Sa plus grande fan, ses longs cheveux bouclés qu'il préférait voir de dos, car tout ce qui l'intéressait avec elle c'était ses fesses et son avis sur les séries du moment. Rien d'un grand amour, pas même l'ombre d'un espoir. Elle avait envoyé ces lettres stupides, parfumées et marquées par des baisers rouges que Raquel avait brulé. Partout où il se présentait, elle était là, au premier rang, attendant déséspérement un regard. Elle y croyait vraiment à l'amour, mais elle était collante. Elle était trop. Et un soir, elle est monté sur scène devant tout le monde pour faire cette déclaration qu'elle préparait depuis des semaines. Le plus beau poème Raquel a frappé. Fort. Plusieurs fois, sans écouter les cris, les hurlements, l'incompréhension. Sans réalisr qu'elle ne pouvait même pas se défendre car il était plus fort qu'elle, bien plus fort. Carlota ne s'est pas relevée. La tête a prit des coups trop forts. C'est la machine maintenant qui lui donne à manger.ivUne trahison, ça vient toujours de quelqu'un de proche. Les gars dans les films Hollywoodiens le repètent assez. Raquel ne pensait pas que la trahison viendrait de sa propre famille. Ils se sont quittés sur ce mal entendu, ce fait divers qui a fait la une dans le journal. Un magicien qui s'en est prit à une spectratrice et l'a détruite. Il aurait mieux fait de la tuer. D'abréger ses souffrances. Ce n'est pas Mama qui lui a annoncé la nouvelle ce jour là, c'est papa. Elle n'avait pas le courage; Lui a croisé les bras, prit cet air sérieux et lui a annoncé d'un ton calme qu'ils devaient partir pour brouiller les traces. Disparaître un moment, trouver un nouvel endroit où se cacher. Que Raquel ferait route à part, car il est traqué maintenant. Il a atitré l'attention de mauvais ne savait même pas que ça existait, dans ce cocon où personne ne lui a apprit que le mal avait une vrai visage. Ils se retrouveraient bientôt. Son pire lui a promis. Ils se sont quittés sur un au revoir et de belles promesses. Depuis chaque fois qu'on lui dit qu'on l'aime Wes sait que ce sont des mensonges, car on n'aime jamais au point de se sacrifier et si il ne peut avoir quelque chose en entier alors il n'aura rien. Il a eu le ventre vide trop longtemps pour se contenter des n'a pas fallu une semaine pour que les chasseurs lui tombent dessus et l'embarquent dans un fourgon, loin de sa famille, de sa patrie. Ils lui évitent la prison pour l'enfermer dans une autre cage encore plus cruelle. Les hommes sont des amateurs, tout ce qu'ils savent des lycans ils l'ont lu dans des livres, ils se fient à films, des séries et des forums obscurs. Raquel n'a jamais su où ils l'ont emmené. Il sait seulement qu'il a eu la chance de ne pas être seul. Les hommes étaient assez narcissiques pour penser être capable de lui extorquer des informations, guidés par une mission divine. Ils lui ont apprit la bible à force de répéter des passages à tout va pour faire fuir le diable sous sa peau, persuadés que Dieu en avait quelque chose à foutre. Ils l'ont torturés pendant ce qui lui a paru des semaines pour savoir où se trouvaient les autres bêtes de son genre, les monstres, les abominations. Sa famille. Plutôt crever que vendre un seul nom. Il a serré les dents, fermé les yeux et savouré sa vengeance quand la pleine lune a joué à son avantage. Pour une fois, les abrutis auraient mieux fait de croire leurs n'a jamais su s'ils ont réussi à fuir en courant après s'être bien chié dessus ou si il s'est déchainé, comme avec cette colère il ne la contrôle pas, elle le contrôle, il lui obeït au doigt et à l'oeil, le coeur battant. La seule chose dont il se souvient après, c'est Savannah. Savannah comme une prière.vSe battre pour survivre, pour gagner de l'argent. Se battre pour apprendre à dompter cette rage et en faire une force. Quand il est arrivé à Savannah, il était encore un jeune morveux prêt à en découdre, s'attirant les ennuis plus vite que les donzelles, à se glisser sous les jupes des filles et laisser la rue l'avaler. Il a profité de sa jeunesse tout de même, ce qu'il en restait. A panser ses plaies et se forger des expériences, ne jamais laisser le drame et la déchirure le blesser. Mieux seul que mal accompagné. Sans aucune affaire, sans papiers, Raquel est très vite tombé dans les affaires sombres de Savannah. Il a commencé à se faire appeller Wes pour se fondre dans le paysage. Champion itinérant, loup sauvage et solitaire, sans aucune pitié, ne déisrant aucune meute ; et aucune meute n'en voudrait. Chien fou. Il a construit brique par brique cette réputation, ce mythe de son identité. Un nom, un visage, sur lequel on raconte la légende qui plaît. Jeune lycan à peine débarqué ayant des problèmes pour gérer sa douleur et sa violence, il commence à se faire un nom en combattant illégalement. Rapidement, il se fascine pour le millieu. Ce n'est pas ses poings qui le calment, c'est d'observer les statégies, c'est de voir ces champions naîtres à partir de rien. La petite graine est plantée. Il veut faire toujours, il sait se débrouiller et s'adresser aux bonnes personnes. Il sait se faire agneau auprès des sorcières pour se procurérer les bons bijoux. Il lui faut des fonds, alors ses tours se transforment en chapardages, en cambriolages. Bien vite, Wes réalise qu'il lui faudra de la main d'oeuvre de qualité. Il serait simple de se tourner sur des loups prêts à en découdre, des profils presque parfaits sur le papier. Ce n'est pas ce qu'il recherche. Il lui faut des personnes qui n'ont rien, qui pensent comme lui, que la vie a abîmé, pour qui le chemin est tordu. Des esprits libres qui sauront lui donner leur loyauté entière. Il lui faut des esprits à façonner comme il le désire, de la matière brute qui ne sait pas encore quoi faire de sa rage au générations qui défilent. Ils restent auprès de lui tant qu'ils sont efficaces, tant qu'ils sont encore jeunes et débordent d'énergie. Ils ne restent jamais, c'est la règle et lui ne s'attache souvent pas assez pour sentir le pincement de regret quand ils passent la porte une dernière fois. Souvent à cause des blessures, de la fatigue et des effets secondaires liés à la transformation forcée, ses champions sont éphémères. Il lui faut toujours trouver de nouvelles recrues pour rester compétitif, puisqu'il ne cherche que le meilleur. Wes est le père de nombreux enfants abandonnés qui retournent à la rue quand leur temps est fait. Ceux qui ne la retrouve jamais sont six pieds sous terre ; enfin en paix.viiNouvelle génération, nouvelles premier est une première, aussi étonnant que cela puisse être. Lui même en est encore surpris, parce qu'il avait cette image des femmes dans la cuisine et de ses soeurs bruyantes, assourdissantes, mais passives. C'est à son avantage, Aya l'a époustoufflé de son caractère, sa détermination. Il lui fallait mettre le grapin dessus. Un magicien n'est rien sans son assistante sensée charmer la foule, celle que l'on prend pour un ange. Finalement, elle était parfaite et ila été idiot de croire un instant qu'elle ne ferait pas l'affaire. Il imaginait les choses autrement, mais elle se sont présentées ainsi, comme un cadeau divin. C'est Aya qu'il a contacté la première, qui s'est retrouvé entre ses pattes. Pendant deux ans, duo explosif et agrandie par la suite. Il veut étendre son business et il lui faut une nouvelle âme. Il respecte la parité, c'est un jeune homme cette fois qu'il remarque. Il y a l'embrassas du choix là où la précarité règne, c'est son Caleb que son choix s'est porté, après l'avoir aperçu une fois et laissé ses oreilles trainer. Débarqué en ville, sans attaches, candidat idéal. Nul besoin de lui faire la cour, Wes sait déjà que dire non serait une insulte. Il n'a pas grand chose à offrir Wes, mais pour ces enfants nouvaux dans le coin qui ne connaissent rien aux enjeux, un toit c'est le grand luxe. Ils n'existe que deux catégories, ceux qui désirent le fuir et ceux qui font le choix de la suivre. Et pour ceux qui suivent sa route, il leur enseigne son art. Ses tours. Sa philosophie. Jusqu'à l'ultime cadeau qu'il peut leur faire avant que ce soit leur tour de lui prouver qu'il n'a pas invesit ce temps pour rien ces précieux fin du monde après eux.
meme si les oceans se dechaine paroles